Opportuniste, traîtresse, grande gueule, cette femme, Djalikatou Diallo, est plus lâche, plus indigne et plus dangereuse qu'Alhousseyni Makanera.


La dame qui a trahi le parti qui l'a élue députée (PEDN) pour rejoindre le RPG-arc-en-ciel est en tête des femmes qui font voter des lois pour leur intérêt personnel de s'assurer être sur les prochaines listes électorales ou gouvernementales.

Sachant que le nombre de femmes instruites comme celui de celles qui sont en politique sont très faibles en Guinée, elles profitent de la situation chaotique provoquée par le déraciné socioculturel Alpha Condé, pour mettre leur intérêt en avant. Sa vision qu’elles semblent avoir réussi à inscrire dans une loi votée par le Parlement nommé par Alpha Condé après expiration du mandat électif des députés, comme on peut le lire dans les réseaux sociaux :

la parité homme/femme version guinéenne: "un homme/une femme/un homme/une femme" dans tous les domaines selon Djalikatou Diallo.

Une loi qui n’existe nulle part au monde, même pas dans les pays développés où toutes les femmes sont instruites. La bêtise va si loin qu’on ne tient même pas compte du fait qu’il y a des domaines presqu’exclusivement féminins et d’autres qui relèvent de celui des hommes.

Sur une liste élective ou de profession, on doit alterner les noms, c'est-à-dire que deux hommes ou deux femmes ne doivent pas se suivre. Comme si le nombre de femmes serait-il égal à celui des hommes en Guinée ! Ainsi, si cette loi est promulguée, cette minorité de femmes réussira à prendre les institutions de la République de Guinée en otage. En effet, compétente ou pas, on ne pourrait plus se passer d’elles dans les structures dirigeantes politiques ou administratives du pays. Elles seront forcément députées ou ministres, vu le nombre peu élevé de femmes intellectuelles et politiquement actives en Guinée. A moins qu’on réquisitionne maintenant les femmes, les prendre contre leur volonté, pour les états-majors des partis politiques ou des fonctions dont elles n’ont pas compétence. Le développement de la Guinée serait compromis à jamais vu qu’une telle loi remet en cause les critères de compétence et de convenance dans le choix de personnels.

Ni musulmane ni mère africaine, Djalikatou Diallo va jusqu’à affirmer que le plus important pour une fille, c’est son métier, pas un mari ou un foyer !

Au lieu de se pencher sur des initiatives qui conduiront à élever le nombre de femmes instruites et celui des femmes qui s'intéressent à la politique, nos anciens députés, actuellement pensionnaires d’Alpha Condé, sans mandat électif, mettent les charrues avant les bœufs sous l’impulsion des Djalikatou Diallo qui se servent du trafic d’influence et de la corruption en instrumentalisant l’actuel président de la République en manque d’inspiration et de prudence, qui veut coûte que coûte entrer dans l’histoire en laissant quelque chose qui porterait son nom. Il s’est fait piéger par des "Sungurumbas" de la République (femmes bandites) qui ont sauté sur l’occasion pour semer le bordel en Guinée.

Suivre :

Djalikatou Diallo, la loi sur la parité version guinéenne :
https://www.youtube.com/watch?v=0UD0gdCfHKk&feature=share

Djalikatou pour le 3ième mandat :
https://www.youtube.com/watch?v=vJbKLEyjhKM

Un des arguments que Djalikatou avancé dans cette émission pour une nouvelle Constitution, la parité homme/femme, a déjà été voté dans le nouveau code civil un mois avant cette émission.

J’espère que le nom de cette dame est déjà inscrit sur la liste des personnes qui incitent au projet de 3ième mandat qui pourrait faire basculer le pays dans le chaos et la violence.

 

Linda Bah,
Guineepresse.info


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